Jeudi dernier, dans la lumière vespérale du Parc des Capucins, un alignement de chaises attendaient ses spectateurs en nombre restreint pour cause de Covid afin d'assister à un concert de musique de chambre en plein air. Tout au long de mon séjour lyonnais, j'avais attendu cet instant en espérant le beau temps. C'était bien au-delà de nos espérances puisque les températures étaient torrides.
Nous avons vivement apprécié ce quatuor accompagné au piano par un jeune prodige russe davantage habitué à l'atmosphère feutrée de la salle Pleyel que ce parterre en plein air avec les cloches de l'église proche qui sonnent à fendre l'âme et le ballet des écureuils dans les arbres au-dessus de la scène. Un très beau concert en mi bémol majeur de Schumann dont je connaissait piètrement le répertoire.
Et revenir en arrière, courant juillet pour le Jazz Festival aux Capucins chaque dimanche de juillet. Hélas, la météo n'avait pas été au rendez-vous les premiers weekends et nous n'avons assisté qu'à un seul spectacle. A l'été prochain à présent si nous sommes encore voisins... Affaire à suivre.