
Nous voici parvenus presque sans nous en rendre compte à la mi-août avec un ciel chargé et une lumière de fin d'été entre chien et loup. En temps ordinaire, je m'en rejouis. C'est prémice à la rentrée. Cette année, je peine à me faire à mon nouvel environnement et je ressens un étrange malaise de ceux qui m'ont conduite à la surconsommation de tranquillisants, il y a plus de trente ans, quand nous nous étions installés sur la terre des betteraviers. C'était la première rentrée des classes de mes enfants.
Je paresse et...
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